vendredi 21 juin 2013

Une époque où les surréalistes "ne craignaient pas de donner des coups... et d'en prendre"

Biblios revient sur la période où les surréalistes "ne craignaient pas de donner des coups... et d'en prendre" dans l'article Quand les surréalistes criaient: «A bas la France!».
Correspondance de Michel Leiris, Jacques Baron Correspondance de Michel Leiris et Jacques Baron : Paris. Début des années 1920. Deux jeunes hommes se rencontrent : Michel Leiris et Jacques Baron, tous deux poètes. Ils aiment les boissons alcoolisées, les boîtes de nuit de Montmartre et de Montparnasse, les femmes et le cinéma, tout ce qui affiche le charme d'une aventure. " Ensemble, de lieux communs en lieux mal famés ", ils errent dans Paris, alors bureau de toutes les extravagances. Ils écrivent des textes propres à effrayer les gardiens de l'Ordre littéraire et de l'Ordre tout court. Tous deux se tiennent auprès d'André Breton lorsque s'inaugure la geste surréaliste. L'un d'eux part au service militaire en Algérie. Débute alors une correspondance qui se prolongera toute la vie et à travers laquelle le surréalisme scintille de tous ses éclats, entre éblouissement et fureur [...] Lire la suite

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